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Le Monde blog de L 'Arbre aux contes de Cristina Marino
Claire Péricard et Serge Vlassenko transforment la scène du Mandapa en village russe. Décidément, le Printemps de la parole, une programmation autour du conte proposée jusqu’au dimanche 15 avril par le Centre Mandapa (Paris 13e) a du mal à trouver son rythme de croisière cette année. Le public n’est pas au rendez-vous, que ce soit en semaine ou le weekend. Ainsi, en ce dimanche 8 avril ensoleillé, la petite salle du Mandapa était beaucoup moins remplie que les terrasses des cafés parisiens. Pourtant avec Claire Péricard en maîtresse de cérémonie, accompagnée à la balalaïka par Serge Vlassenko, la fête fut plutôt réussie. Et le dépaysement garanti avec ces Ruses russes, qui ont plongé les spectateurs dans l’ambiance d’une fête de village en Russie, avec comme fil rouge de ces récits, l’habileté des plus petits à se jouer des grands de ce monde. Lintégralité de l'article
Il suffit d’un soir… et d’un lendemain constituait une sorte de retour aux sources, à savoir l’essence même du conte : des histoires traditionnelles narrées par un artiste (artisan ?) de la parole qui n’a recours qu’à sa voix pour transporter le public dans son univers. Et ce fut un moment bien agréable de se laisser ainsi embarquer pendant une petite heure dans un voyage à travers différents continents au gré de son récit.
Ces trois petits contes initiatiques, narrés par Claire Péricard en toute simplicité et avec beaucoup d’humour et de bonne humeur, ont su trouver aussi quelques échos dans l’actualité récente. Ils ont également permis à la conteuse de prendre du recul par rapport à son récit et de s’amuser de-ci de-là des images toutes faites et des clichés que véhiculent parfois les histoires traditionnelles sur les pays et leurs habitants, sur le monde tel qu’il est ou qu’il pourrait être. Les contes empruntent ainsi parfois certains passages obligés et certaines formules passe-partout qu’il est bon de remettre en perspective. Ce à quoi Claire Péricard s’est employée de manière efficace durant cette soirée mine de rien, sans en avoir l’air…L'intégralité de l'article
La République du Centre
Durant une heure, Claire Péricard fit rêver les enfants et leurs parents en les maintenant en haleine grâce à une gestuelle et une oralité acquises auprès de professionnels du conte mais aussi d’après son expérience artistique antérieure dans le théâtre et le théâtre d’ombres .Malgré le lieu se prêtant mal à l’intimité, les enfants ont su rester attentifs, entre autre, grâce à l’interactivité impulsée par la conteuse.
L’Echo
Les enfants âgés de 3 à 7 ans qui fréquentent la bibliothèque ont plongé, mercredi soir, dans les contes maritimes de Claire Péricard. Ils ont été très attentifs et ont ainsi appris d’où venait l’expression « être heureux dans un poisson dans l’eau » ou pourquoi la mer a mauvais goût, parfois, quand on boit la tasse !
Comptes-rendus d’animations de bibliothèques à Paris
En Piste Malgré un public beaucoup plus jeune que prévu, Claire Péricard a su s’adapter parfaitement à ce très jeune public qui a écouté et regardé les yeux écarquillés, pendant près d’une heure, dans un véritable silence.
La conteuse peut donc étendre son public jusqu’aux tout-petits, qui forment un public difficile et très particulier. Prestation d’une qualité remarquable.
Entre Ciel et Terre….Ces contes étaient destinés à tous à partir de six ans. Les enfants ont été captivé . Claire Péricard maîtrise parfaitement son répertoire qu’elle sait adapter au public.
Autres
Dans le cadre du 3ème Printemps des contes et des conteurs
La conteuse ouvre sa besace débordantes d’histoires et entraîne les élèves dans un périple chimérique à travers différents pays d’Afrique : Rwanda, Burkina-Faso et Mali. Après moult contes, les têtes dodelinent de plaisir et l’on peut voir la flamme de la création pétiller dans les yeux des jeunes car, au terme de cette ballade imaginaire, ils disposent de clés supplémentaires pour préparer leur conte africain qu’ils présenteront bientôt.
Immédiat Drancy
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Des femmes de tous âges, savent que l’habituel cours d’alphabétisation sera cette fois un peu particulier. Avec étonnement elles accueillent une femme qui dit « être venue pour raconter des histoires » Claire Péricard commence alors une escapade imaginaire.
Des sourires enfantins s’ébauchent alors sur les visages qui se dérident complètement et des interjections, tantôt de joie, tantôt de peurs, expriment les diverses émotions traversant les auditrices. Une fois de plus la magie du conte opère…avec quelques ingrédients :des mots, des gestes et un sourire chaleureux, la conteuse a su tisser un lien avec ces femmes qui ont pu bénéficier d’un moment de ravissement mais aussi ont pu d e façon originale accéder à la langue française, condition sinequanon d’intégration culturelle.
Immédiat Drancy
Un petit détour par la Basilique de Saint Denis
Pour l’inauguration d'une exposition itinérante, présentée dans le cadre de la semaine nationale du handicap, à la basilique Saint Denis, la conteuse Claire Péricard a raconté la triste jeunesse de Bertrand Du Guesclin, Connétable de France, un des gisants les plus fréquentés .
Journal Saint Denis
Dans une bonne crêperie au fin fonds du pays gallo !
Claire Péricard , la conteuse, est venue jusqu’à la crêperie Bido grâce à une rencontre amicale avec Olga et Francis , les patrons du lieu. Après dîner, une trentaine de personnes (adultes et enfants) ont écouté, avec des visages souriants, des histoires venant de Grèce, de Russie, une version inédite du Petit Chaperon Rouge, et enfin une célèbre histoire se passant au village même, celle d’une vieille femme prête à offrir ses galettes en échange d’une plume de buse. Ainsi vivent les histoires…
La Gazette du Morbihan